Blouson rouge et lunettes noires
Le lieutenant Franck est chargé d’enquêter sur la mort d’une riche veuve dans le quartier huppé de Santiago ou résident toutes les personnalités importantes de la ville de Gourbe. Le commissaire lui demande de faire diligence car il n’est pas question de laisser un meurtrier en liberté.Le lieutenant Franck est chargé d’enquêter sur la mort d’une riche veuve dans le quartier huppé de Santiago ou résident toutes les personnalités importantes de la ville de Gourbe. Le commissaire lui demande de faire diligence car il n’est pas question de laisser un meurtrier en liberté.
Accompagné du brigadier Jack son adjoint, ils se rendent au domicile de la défunte. Mais là, ils ne trouvent aucun indice qui laisserait supposer que celle qui répond au nom de madame de Palmiste a été agressée. Pas de trace de lutte, pas de trace de sang, tout est impeccablement bien rangé dans l’appartement.
Transportée à l’institut médico-légal, tous les examens toxicologiques pratiqués sur la défunte vont se révéler négatifs. Pour les enquêteurs il s’agit d’un crime parfait, s’il s’agit d’un crime bien sûr. Mais pour la police, le crime parfait n’existe pas et quand cela se produit il y a toujours un coupable.
Le légiste en poursuivant ses investigations découvre que la victime a les cervicales brisées. Du coup l’enquête est relancée et va aboutir à l’arrestation du meurtrier, grâce aux observations particulièrement pertinentes du brigadier Jack.
Assassinats sur le pont de Géta
Un grand mystère s’est installé dans la commune de Capesterre Belle-Eau suite aux assassinats successifs de plusieurs membres d’une bande de jeunes.
Ces faits de violences se sont bizarrement déroulés toujours au même endroit : le pont de Géta !
Pourquoi eux ?
Pourquoi en ce lieu ?
Quelles dispositions prendra la Police pour résoudre cette énigme ?
Arrivera-t-elle à mettre la main sur les assassins ?
Etoile
Durant ma nouvelle vie en Martinique, j’ai découvert qu’il suffisait d’un déclic pour qu’une vie bascule.
J’y ai vécu tant de choses… Mais, par-dessus tout, j’ai appris qu’il existe un lien indestructible plus fort que l’amour et au-delà de la mort : celui qui nous unit.
Il ne fait jamais nuit
Caroupin, un jeune Indien de Pondichéry portant en bandoulière la spiritualité, l’érotisme divinisé de l’Inde et la devise républicaine française – Liberté, Egalité, Fraternité – quitte le Tamil Nadu pour les « Iles à sucre » à la fin du XIXe siècle. Débarqué à Saint-François dans l’enfer des plantations où ses compatriotes subissent le martyre, il se bat pour donner vie à la plaque d’immatriculation qu’il porte.
Un Blanc, un Nègre et lui-même, issus des trois ethnies habitant la commune, constituent un triumvirat qui s’attaque résolument à la colonisation armée d’exploitation, d’asservissement, de souffrance et de racisme.
Le « Nègre marron » Lupéron qui jadis avait volé un crucifix pour lui tenir compagnie dans les bois ouvre une fenêtre sur la sagesse et le capital identitaire hérités d’Afrique.
Grâce à ses initiatives, l’Indien Chinapin, libéré de son engagement, transforme sa propriété en territoire libre pour le « Vivre ensemble ».
Une Blanche créole Joséphine, maîtresse d’habitation, conquise par Kâma, le dieu de l’Amour, tombe follement amoureuse de Caroupin. Il s’établit entre eux une sublime relation.
Les trois serviteurs, tels des apôtres sèment partout la spiritualité et plantent leur doctrine afin de jeter la lumière du sang-mêlé sur Saint-François, de pétrir la pâte humaine d’universalité et d’arroser le chemin de l’homme de « Liberté, d’Egalité, de Fraternité »….
Vies Brisées
Vies brisées.
(Suite du livre « Piège ! »)
Qu’est devenue la petite Anne, ce bébé sauvé de la mort avant même de connaître la vraie vie ? A-t-elle le droit d’être aimée ?
Au fil du temps, elle réalise que tout ce qui l’entoure n’est en réalité qu’ennemi ! Même le bonheur est un ennemi puisqu’il la fuit.
La vie de Anne s’effrite lentement et s’enfonce chaque jour un peu plus dans le dédale destructeur d’un désordre cognitif profond et douloureux.
Trompée, humiliée, jetée à la rue …Pourquoi tant de malheurs s’abattent sur les épaules d’une même personne, refera-t-elle surface, réussira-t-elle à s’aimer ?
Cette histoire vraie prouvera encore que le passé utérin a son importance et qu’il ne faut jamais juger quelqu’un sur sa seule apparence.
Alexander et Teresa
Alexander & Teresa, tous deux de la Caraïbe, vont connaître un amour passionné, dans des décors exotiques, tout en faisant le tour des grandes métropoles mondiales. Teresa qui avait vécu une partie de sa vie au couvent, ne sait toujours pas trouver un équilibre entre son amour de Dieu et son amour pour Alexander. Teresa, fille d’enseignants, a fait de brillantes études en Europe, qui l’ont déconnectée des réalités économiques et sociales des îles à sucre. Alexander, francoaméricain, né à quelques encablures de la plantation, de parents artisans, connaît bien le monde ouvrier ainsi que la ploutocratie de son île. Les deux êtres vont se découvrir, s’aimer, s’affronter à la recherche de la vérité au plus profond d’eux-mêmes, dans une atmosphère de crise de leurs sociétés qui subissent les turbulences de la mondialisation.
Impacts !…
Terres, histoires, familles… Où que l’on aille, qui que nous soyons, les stigmates nous imprègnent pour nous donner l’Identité. Dans les Caraïbes, les richesses du métissage déversent les flots de connaissances permettant à l’homme de se construire à chaque saison de vie.
Les vécus, les bouscules de la Nature… L’empreinte nous marque pour enclencher les générations. Dire, dé-dire, le tout pour restaurer la lumière au fond de l’Etre… C’est une invite individuelle et collective pour mieux se connaître et une Réconciliation avec soi-même.
“Impacts !”, c’est aussi l’histoire des vécus qui tissent le Temps. Un temps qui s’affirme dans son accélération pour nous réapprendre à marcher constamment dans l’instant présent ! Démarche d’introspection, d’analyse dans une écriture vibrale de l’instantanée. Retour du Soi en Soi. Décortiquer l’ensemble de l’individu dans un univers en transformation continue.
Regard humain, sociétal de l’analyste qui sonde l’humanité à travers ses mondes et ses mécanismes de constructions ; jusqu’à rencontrer les MAK ! Des stigmates qui doivent être soignés ou utilisés à seule fin de l’équilibre personnel.
Le baiser de Nini
Mon cœur pleure le silence de ces secrets tout droit sortis des temps anciens et qui se perpétuent dans le présent, cherchant à le faire basculer. Cette tradition d’enfouissements, cette polygamie que l’on exprime dans le « dedans ou le dehors » et ce sang qui explose en nous comme un volcan, et d’autres encore, que sais-je ? Cette soif du sexe qui pousse jusqu’à l’inceste dans le silence indifférent et criminel des familles. Toutes ces choses qui font notre particularité reflètent le tâtonnement d’un peuple écartelé entre plusieurs choix.
Une mère célibataire, dépassée, prise par son travail, engluée dans les tracas de la vie quotidienne, confie l’éducation de son fils à ses grands-parents. Papi Alfred, à l’image du guide familial, trace son sillon dans la vie de son petit-fils. Il l’éduque à la manière dont il a été lui-même éduqué. C’est une transmission intégrale, d’un être à un autre, des pratiques d’un temps, avec ses lacunes et ses points forts.
Le baiser de Nini est une fresque, un tableau rempli de couleurs, de sons et de silences sur la vie d’une société, d’un homme, d’une famille de Guadeloupe. C’est un quartier du Gosier : Grand-baie symbole aujourd’hui de liberté et d’industrie sexuelles. C’est une époque révolue qui prolonge ses tentacules dans le présent jusqu’à menacer l’avenir de Tissé. Une société qui oblige le jeune homme à se réfugier dans l’hexagone où, semblerait-il, l’éloignement aurait un effet de thérapie.
C’est enfin une grand-mère qui hante la vie de ses enfants par-delà la mort.
Mourir pour vivre
La seule destinée de l’homme, serait-elle de vivre jusqu’à ce que la mort l’emporte et de disparaître à tout jamais dans le néant, ne laissant sur la terre que le souvenir de l’être qu’il fut. Omer Numa qui n’est pas à son coup d’essai , à travers ce nouvel ouvrage, réfute cette hypothèse et nous démontre que si le corps s’en va, l’âme continue à vivre.
Il retrace le parcours d’une idole de la chanson, de sa naissance jusqu’à sa mort et de sa mort jusqu’à son arrivée devant les portes du paradis…
Une histoire poignante qui soulève bien des questions. Libérée de son enveloppe charnelle, l’âme devient-elle un nouveau moyen d’existence pour celui qui l’a hébergée jusque-là ?
L’auteur pénètre au cœur de cette interrogation et nous démontre que la mort est loin d’être une fin en soi, mais la naissance d’une autre façon de vivre. L’auteur a-t-il raison ou tort en affirmant cela ?
Cette lecture, en tout cas, permet de se faire une idée sur cet aspect mystérieux de l’après-mort !
La Corallienne
Après de nombreuses années à l’étranger, Isadora Wilson décide de renouer des liens avec son ami d’enfance Enrick Sledge sur son île natale, la Barbade, afin de trouver des réponses à ses interrogations.
Est-ce le barbadien, l’auteur de ce terrible complot qui a mené Clearline, sa maison de mode, à la faillite et par la même occasion l’a déchue de son poste de directrice de l’entreprise ?
La jeune femme mènera subtilement son enquête afin d’obtenir les aveux d’un Enrick énigmatique. Réussira-t-elle à faire de celui-ci un homme renouvelé et apaisé ?
Loin des mirages de l’univers de la mode, Isadora est bien La Corallienne qui s’est forgée une personnalité à partir d’une succession d’évènements historiques et familiaux à l’instar de la Barbade, corallienne également qui a émergé progressivement de la surface de la mer à partir d’une succession de strates de corail, contrairement aux îles voisines volcaniques, créées sous la pulsion de la lave et du feu.
Un autre regard
Elevé à la campagne, Bernard vit des aventures extraordinaires : avec les êtres réputés malfaisants (Soukougnan…) mais aussi Man Da,
sa grand-mère morte, et qu’il voit « sortir » du cercueil.
Lors de ses randonnées en forêt avec ses amis, il est encore le seul à voir l’invisible.
Il connaîtra aussi la souffrance quand ses parents décident de faire de son petit cochon une bête de somme.
Curieux comme tous les enfants, il va tenter de s’approprier tout ce qui dépasse son entendement.
Canal 9
Il a été choqué (mais le mot est sans doute faible) par le sort réservé aux descendants de ces Afro-antillais qui sont partis, entre autres, de Guadeloupe et de Martinique, pour participer à cette grande aventure humaine qu’a été la construction du Canal de Panama.
Aujourd’hui, ils sont laissés pour compte et vivent en marge du développement de ce pays qui ne serait pas ce qu’il est, sans leur contribution.
Mais pour le Noir, est-ce nouveau ?
Ne trouve-t-on pas de nombreux parallèles avec le sort des Afro-antillais français ?
Cependant, pour ceux de chez nous, des alternatives existent. Pour ceux de là-bas, elles paraissent nulles dans un monde où le racisme et l’argent sale sont rois.
Ils semblent condamnés à continuer de justifier les stéréotypes dans lesquels ils ont été ghettoïsés.