Le Conte du Langage des oiseaux
La rencontre avec RénaNacre permit à nos amis Compère Gommier, Messire Merle, Dame Tourterelle d’enlever le voile de l’oubli, Et de découvrir la puissance des mots dans un périple passionnant, dans un monde d’émerveillement ! Un conte au sujet peut-être inédit avec notre valeureux Monsieur Coq dont le rôle fut déterminant dans cette histoire : – Dans quel pétrin me suis-je fourré dit Monsieur Coq, voilà que je suis obligé de courir… Alors laissez-vous dériver dans le divertissement de la richesse des mots à la rencontre du Conte du Langage des oiseaux.
Sizé-w mwen palé ba-w…
Chak pèp ka travèsé lavi èvè makout a-y i ka plen piti a piti…
Défwa, lè yo rété pozé on moman ki pa mégad, ki dinèspré, yo ka lagé yonndé zagré adan sa yo ja sanblé… Dépawfwa, yo ka menm pwan sa yo bizwen adan sa yo touvé si plas…
Two présé pa ka fè jou wouvè…Koulèv an tòch pa ka gra…A vou a touvé balan a-w… Sé konstwi nou ka konstwi !
Alèz pour maké kréyòl
Cet ouvrage est le peaufinage des travaux de quinze années de recherche sur le processus de la créolisation du français. Il permet à tout lecteur francophone d’accéder à la lecture et à l’écriture du créole en un temps record, grâce à l’établissement d’un code couleur qui permet de visualiser la logique d’écriture liant les deux langues.
En effet, le code tricolore (noir pour les lettres qui ne changent pas, violet pour les sons qui se modifient et gris pour les lettres qui disparaissent) nous permet d’être autonome en très peu de temps dans la traduction de mots français en créole. C’est vraiment un moyen s’initier à l’écriture du créole tout en s’amusant.
7 règles pour mieux aider les élèves à réussir
Cette approche pédagogique repose sur 3 axes forts : le dynamisme pour stimuler, l’écoute attentive pour mieux agir, la mise en valeur du potentiel de chaque élève pour bien les préparer à affronter les obstacles. Elle y intègre le fait qu’enseigner va bien au-delà de la transmission de connaissances et de l’évaluation de performances, c’est aussi former des hommes et des femmes épanouis.
Cette expérience s’étale du collège à l’enseignement supérieur et lui confère une vision assez objective des attendus du métier et de la façon de l’exercer.
La Conque, Quête identitaire
Avec La Conque, Quête Identitaire, que nous est-il encore permis d’espérer ?
La Guadeloupe peut distiller quelque chose d’aussi enivrant que son rhum : un second souffle de liberté de vivre en harmonie avec soi.
La valorisation des pratiques socioculturelles menacées d’oubli, ajuste implicitement les modalités de l’élaboration de l’identité sociale à travers des négociations cachées, dans les enjeux de pouvoir de la lutte contre la perte des cultures.
Nous portons toute notre fierté à écrire progressivement une Histoire originale de la Guadeloupe, à travers l’Histoire singulière de la Conque Marine qui nous amène à être plus responsables de notre vision du monde.
À partir du souvenir d’un seul trait culturel, précis et exclusif, illustré ici avec la métamorphose de l’ancestral et légendaire ’’Kònalanbi’’ en Stwonbofòn (Strombophone, un instrument de musique à vent, en conque marine), nous pouvons expliquer et comprendre tout un pan de notre vie et nous ouvrir sur le monde avec la conscience d’être.
Notre action se destine aussi à la réappropriation de soi. Elle vise ainsi à favoriser l’insertion sociale et professionnelle durable dans l’environnement culturel.
Soley ho – Tome 1
Désormais, élèves, professeurs, parents et autres partenaires de l’Ecole en Guadeloupe ont à leur disposition un ouvrage incontournable en Langue Vivante Régionale (LVR) sinon indispensable à l’enseignement de cette discipline transversale éminemment essentielle à une meilleure prise en compte des potentialités et réalités de l’élève en Guadeloupe.
L’équipe de coordination, composée de Mirna BOLUS, Murielle CLODINE-FLORENT, Gaston NICOLAS et Alain RUTIL, a retenu plus de 150 contributeurs ou co-auteurs.
Nous avons donc le plaisir de vous annoncer que c’est un ouvrage en deux tomes contenant environ 300 textes et documents regroupés autour de 22 thématiques.
Les 10 thématiques du premier tome : Lang kréyòl la ; Listwa a péyi an nou ; Karayib-la (Listwa a Karaib-la ; Nwè an Karayib-la ; kannaval an Karayib-la ;Kont é fab an Karayib-la ) ; Idantité an nou ; Jan moun ka rété ; Jan nou yé ; Vivasyon an nou ; Kawayans é kawayandiz ; Mizik, chanté, dansé ; Gloriyé.
Les 12 thématiques du second tome : Santiman ; Lafanmi ; Lanmò ; Goumé é lavi ; Fanm ; Lajennès ; Lanati ; Pwoblèm asi Latè ; Tipawòl, Povèb é jé ; Lékòl-la ; Laprès ; Slam.
Sachez que dans ces deux tomes se trouvent :
– les principaux textes fondateurs de l’écrit en créole ;
– des textes et documents fondamentaux de la tradition à la modernité créole ;
– des textes et dossiers évidemment à vocation pédagogique,
– des auteurs connus ou en devenir ;
Ce travail en gestation depuis un certain temps déjà est le résultat d’une longue et patiente collaboration d’étude et de recherche que nous vous invitons à acquérir très prochainement.
Soley ho – Tome 2
Désormais, élèves, professeurs, parents et autres partenaires de l’Ecole en Guadeloupe ont à leur disposition un ouvrage incontournable en Langue Vivante Régionale (LVR) sinon indispensable à l’enseignement de cette discipline transversale éminemment essentielle à une meilleure prise en compte des potentialités et réalités de l’élève en Guadeloupe.
L’équipe de coordination, composée de Mirna BOLUS, Murielle CLODINE-FLORENT, Gaston NICOLAS et Alain RUTIL, a retenu plus de 150 contributeurs ou co-auteurs.
Nous avons donc le plaisir de vous annoncer que c’est un ouvrage en deux tomes contenant environ 300 textes et documents regroupés autour de 22 thématiques.
Les 10 thématiques du premier tome : Lang kréyòl la ; Listwa a péyi an nou ; Karayib-la (Listwa a Karaib-la ; Nwè an Karayib-la ; kannaval an Karayib-la ;Kont é fab an Karayib-la ) ; Idantité an nou ; Jan moun ka rété ; Jan nou yé ; Vivasyon an nou ; Kawayans é kawayandiz ; Mizik, chanté, dansé ; Gloriyé.
Les 12 thématiques du second tome : Santiman ; Lafanmi ; Lanmò ; Goumé é lavi ; Fanm ; Lajennès ; Lanati ; Pwoblèm asi Latè ; Tipawòl, Povèb é jé ; Lékòl-la ; Laprès ; Slam.
Sachez que dans ces deux tomes se trouvent :
– les principaux textes fondateurs de l’écrit en créole ;
– des textes et documents fondamentaux de la tradition à la modernité créole ;
– des textes et dossiers évidemment à vocation pédagogique,
– des auteurs connus ou en devenir ;
Ce travail en gestation depuis un certain temps déjà est le résultat d’une longue et patiente collaboration d’étude et de recherche que nous vous invitons à acquérir très prochainement.
Dictionnaire de rimes créoles
Lafanmi,
Mi on baz-mo pou moun ka kolé bout-mo, menmjan èvè moun ka kolé bout-domino. Kifè nou kriyé baz-mo lasa « Domino-mo ». Domino-mo fèt pou moun ka palé kréyòl, prensipalman pou lésèz ka palé kréyòl Gwadloup. Kifèwvwè nou pa pwan tan mété-y an lang fwansé.
Vous êtes donc invités à « zwelmoliser », car si la chanson française se donne à cœur joie dans cet exercice pour obsédés textuels, pourquoi devrait-on se priver d’un jeu de mots qui peut d’ailleurs nous prévenir de certains maux. Par exemple se décomplexer devant la méconnaissance de sa propre langue. Que dis-je, de sa langue pour que vous n’alliez pas dire que j’ai une langue sale…
Diksionè boutmo ek latjémo pour bien manier la rime créole en jouant avec les mots.
La Langue des Signes Française, un monde à découvrir
L’univers des malentendants et des sourds est un monde tout en images et en nuances.
Ce livre est une invitation au voyage au pays de la LSF.
Il a été conçu à l’usage des pratiquants afin de leur révéler la richesse de leur langue. Il est également
une introduction pédagogique pour toute personne désirant enseigner ou apprendre la Langue des signes Française.
Je propose de trouver dans cet ouvrage, la clé qui permet de comprendre comment le sourd appréhende le monde, quelle en est sa vision
et comment il la restitue.
Ouvre les yeux et lis
Ce manuel est l’aboutissement de plus de 20 années de réflexion et de pratique ; la confirmation d’une conviction partagée. Il est le fruit d’une complicité entre deux passionnés d’enfants et de pédagogie. Bernadette CASSIN-PIERROT est conseillère pédagogique honoraire, adjointe d’inspecteur de l’Education nationale. Alors qu’elle était directrice d’une école, émue de la douloureuse situation d’une vingtaine d’élèves inscrits en classe de CP/CE1/CE2, tous en échec dans l’apprentissage de la lecture, victimes du « non savoir lire »; elle les a réunis et a mené avec eux une expérience visant à les aider à « s’apprendre à lire ». cette expérience fut concluante. Suite à ce constat, elle a imaginé une Stratégie pour l’accompagnement des apprentis-lecteurs. Cette Stratégie fut expérimentée durant les années 80 dans plusieurs CP de la circonscription de Basse-Terre II avec plus ou moins de conviction. Moïse BENJAMIN, après cette expérimentation y a cru et l’a adoptée. A l’appui de ses compétences pédagogiques de Professeur des Ecoles, il y a investi ses talents imaginaires et créoles de conteur, musicien, comédien. Cette approche « ludique et constructive » a imprimé le ton qui convenait à la démarche pour éveiller la curiosité des élèves, exciter leur désir de savoir, libérer leur expression et favoriser leur mise en confiance pour le décodage des ECRITS. Ainsi la « leçon de lecture » a perdu son caractère scolaire, rébarbatif, souvent déroutant, et s’est transformée en « moments d’activités joyeuses de quête d’informations, d’observations, de questionnements, d’échanges, de découvertes, de constructions ». Année après année, le CP de Moïse BENJAMIN a constitué, pour nous, le laboratoire d’observation, d’analyse, d’expérimentation dans lequel l’idée initiale a mûri, a évolué en se précisant, en s’affinant. Nous pouvons aujourd’hui déclarer qu’elle est fiable. Son efficacité est attestée par les résultats obtenus, le témoignage des différentes promotions d’élèves l’ayant pratiquée, la satisfaction des parents. Nous espérons avoir votre confiance pour en faire bénéficier le plus grand nombre « d’apprentis-lecteurs ».
Traité de registration à l’Orgue
Christian Robert est né en 1935 à BORDEAUX où il a fait toutes ses études générales et musicales.
Très jeune il a pratiqué la musique et travaillé le piano, le solfège et l’écriture musicale au Conservatoire de Bordeaux.
Pour l’orgue, il a été guidé par son prédécesseur, le Chanoine André Lacaze, qu’il a remplacé dès la Messe de minuit de Noël 1950 et, rapidement, est devenu son suppléant aux grandes orgues de la Cathédrale St-André.
Par la suite, il a travaillé l’orgue avec Julien-Fernand Vaubourgoin à BORDEAUX, puis avec Pierre Cochereau et, enfin, Jean-Jacques Grunenwald à PARIS.
A l’issue de son Baccalauréat Math. Elém., il a commencé une Licence de Sciences, mais trois ans plus tard a décidé de se consacrer définitivement à la Musique : ceci ne l’empêchera pas, de 1973 à 1978, de reprendre des études d’électronique théoriques et pratiques.
Après avoir obtenu les deux parties du C.A.E.M . (diplôme d’Etat d’Enseignement de la Musique et du Chant Choral) il est devenu Professeur d’Education Musicale dans les lycées et collèges d’abord à PERIGUEUX puis à BORDEAUX.
A ce titre, il a fondé plusieurs chorales, dont celles du Collège du Grand Parc et du Lycée Montesquieu de BORDEAUX qu’il a produites à l’Etranger, et plusieurs orchestres dont l’Orchestre des J.M.F de PERIGUEUX, l’Orchestre Universitaire et l’Orchestre de chambre Roger-Ducasse de BORDEAUX.
On lui doit des ouvrages pédagogiques – dont les quatre livres «Vocasol» – et le présent «Traité de registration à l’orgue» préfacé par Jean GUILLOU, mais également diverses compositions pour piano, orgue, chœurs, différents instruments et ensembles.
Il est devenu Titulaire des grandes orgues de la Cathédrale St-André en 1965, après la mort du Chanoine Lacaze, et a continué la tradition du petit récital d’une demi-heure avant la dernière Messe dominicale ou d’un jour de Fête, récital qu’il a alors appelé «Offrande musicale». Ce petit récital d’Avant-Messe avait été créé par Charles Amourous en 1877 et repris par ses successeurs, l’Abbé Berthau ( de 1910 à 1913), Francis Randier (de 1914 à 1942 )
et le Chanoine Lacaze (de 1943 à 1964).
Outre la France (en particulier à PARIS : à Notre-Dame, St-Sulpice, St-Augustin, St-Denis…), il s’est fait entendre en concerts dans de nombreux pays : Allemagne (notamment en la Cathédrale de PASSAU en 2008 et 2013), Autriche (en particulier à la Cathédrale de Salzbourg), Belgique, Grande-Bretagne notamment à LONDRES :
à Westminster Abbey – où en 1995 il a représenté la France dans le cadre des grands concerts pour le tricentenaire de la mort d’ Henry Purcell – , en la Cathédrale St- Paul, en la Cathédrale de Westminster et au Festival de Musique de la Cité, à plusieurs reprises), Hollande, Italie, Suisse et Ukraine (en particulier à KIEV).
II a joué plusieurs fois avec l’Orchestre de Bordeaux-Aquitaine, avec lequel il a donné en premières auditions à BORDEAUX le Concerto de Poulenc, le Concerto de Dupré et le Concerto-Improvisation de La Casinière, et lors de l’inauguration des nouvelles orgues de la Cathédrale en 1982.
En mai 1982 il a fondé l’Association « Musica in Cathedra » dont il a été le Président jusqu’en mai 2011.
Il a composé une soixantaine d’œuvres.