BRIAND – BRIAND MONPLAISIR – Une histoire de famille
L’auteur de la recherche du puzzle de la famille Briand au travers du prisme généalogique et d’une véracité de connexion intégrante de Briand-Briand Monplaisir, corrobore sans extrapolation, ce lien souche rhizome d’une longue famille loin d’être allochtone. Plutôt vouée vers le Tout Monde. Les trois unités principales de la recherche permettent d’aborder, thèmes, interrogations à l’intérieur l’opus. Pourquoi ce livre ? L’origine du nom Briand ? D’où vient le nom que nous avons ? Elles permettent de créer non seulement un nouvel espace de rencontre mais une reconnaissance inédite de la famille Briand-Briand Monplaisir (Fernand Briand).
Mission à contre-courant – De la Martinique à la Guyane
Charles JESBAC Militaire incorporé au Galion, en 1964 à son arrivée en Guyane, il intègre par la suite, L’Office Nationale des Forêts (l’O.N. F) en tant que prospecteur forestier. Après avoir parcouru durant trois ans, l’Ouest Guyanais (Saint-Laurent du Maroni à Maripasoula), il devient spécialiste forestier. A la fin des années 60, il travaillera comme aide-météorologiste au Centre Spatial Guyanais avant d’intégrer la Police Nationale (1969-1995). Malgré son métier, il gardera un lien très fort avec l’espace naturel et le monde rural. Après un stage agricole en Martinique en 1979, il deviendra l’un des plus grands éleveurs d’ovins et de Caprins de Guyane, sera Président de l’association de ces mêmes Éleveurs de Guyane (APOGAG) et accueillera sur son exploitation de Montsinéry Tonnegrande, de nombreux jeunes en formation issus de la filière agricole.
Une vie accidentée
« Tonbé, Mèt jounou a tè, Trenné…. Lévé é Vansé ». Tel est le refrain de la vie de Richard LAURENT, dont les yeux se sont ouverts au monde au Plateau St Germain à Gosier, commune dont il est originaire.
Personnalité façonnée par l’ambiance des « lakou » et par une éducation familiale qui lui a appris très tôt que « fo pa’w atann si janm a moun pou maché », Richard a eu à s’affirmer très tôt dans la vie.
Est-il né sous une mauvaise étoile ?
Depuis l’enfance il est dans la tourmente d’une vie accidentée, on peut même dire très accidentée.
Commence alors entre les épreuves douloureuses et lui, un combat de coq livré dans le grand « pitt » qu’est la vie, avec pour supporters et parieurs, son entourage…. « doubout ti kòk ! »
Cet éternel combat aura fait de lui l’un des plus grands disciples d’Epicure, car il sait aussi apprécier chaque bon moment de la vie.
Quant à nous lecteurs, sa persévérance nous aura démontré que malgré les défis qu’elle nous lance, la vie nous donne toujours une deuxième chance.
Parfois, le courage est cette petite voix intérieure qui nous dit à la fin de la journée : essayons encore demain.
Man’O
L’AVENTURE DU PAPYRUS
Des générations de Guadeloupéens et des milliers de touristes sont montés à bord du Papyrus et du King Papyrus pour participer à une excursion à l’Ilet Caret, à l’îlet Gosier ou pour visiter la mangrove. Qui ne se rappelle pas de cette ambiance de fête, du ti punch les pieds dans l’eau, du repas créole, des soirées dansantes avec animations ? Un concept unique.
Dans ce livre, l’auteur retrace 45 ans d’histoires de ses bateaux depuis leurs constructions jusqu’à ce que leurs silhouettes disparaissent de l’horizon…
Son récit plein de péripéties authentiques nous fait vivre sa passion d’entreprendre, malgré les éléments qui s’acharnent contre lui. Grâce à sa fougue naturelle et sa bonne étoile, il réussira, pour que :
« La croisière s’amuse ! ».
Embarquez à la marina de Pointe-à-Pitre pour vivre cette belle aventure !
Guadeloupe – An bizwen on ti-joupa
Pourquoi relater cette période de ma vie, de 2014 à 2020 ?
Non, je n’établis pas un guide touristique de la Guadeloupe, mais je partage l’expérience vécue depuis mon arrivée, emplie d’aléas, de difficultés, de coups du sort… et de bonheurs.
J’offre ici un regard sans concession aux candidats à l’installation dans ce magnifique archipel.
La Porte qu’il ne fallait pas ouvrir
J’étais résigné à tout, j’ai accompli mon devoir jusqu’au bout, j’ai bu le calice jusqu’à la lie. Certes, on n’efface pas l’histoire, car elle se répétera, encore et encore, si personne ne brise la loi du silence. Voilà pourquoi je tenais à écrire cet ouvrage. Mon drame était d’avoir gravi tous les échelons pour ensuite briser le plafond de verre qui existait au sein de ma Direction. J’imagine que beaucoup de salariés luttent avec l’énergie du désespoir contre « l’ensauvagement » de certains directeurs qui bousillent des vies par un management pathogène et agressif. J’aimerais sincèrement aider les victimes, c’est d’ailleurs le but de ce livre. Le prix de la liberté c’est le courage, pourquoi donc se taire quand on a l’intime conviction que dire la vérité est un devoir absolu.
Je m’appelle Julien…
Je m’appelle Julien…
Ce texte est le récit de la vie d’un homme, arrière petit-fils d’émigré indien et anglais de Montserrat, qui a vu naître un club emblématique, l’Intrépide de Gourbeyre, qui fêtera en 2020 ses 75 ans.
C’est l’histoire de sa vie, intimement liée à celle de ce club, auquel il a consacré le plus clair de son temps et dont il est encore actuellement le président.
Le président Julien Guims a eu une vie bien remplie avec des enfants dont il est fier. Il a eu des engagements en tant que syndicaliste de la CGTG et a participé auprès de Lucien Gerville-Réache à la création des archives de Gourbeyre, de la route de Morin, de la route de Vieux-Fort et d’autres actions, toutes aussi importantes pour le Sud Basse-Terre.
C’est ce que nous voulons vous faire découvrir avec ce texte qui vous permettra de découvrir la vie au temps de la colonie, du temps Sorin et la situation post-coloniale, les espoirs et les déboires qu’elle a engendrés.
Ce témoignage est offert en partage à la nouvelle génération pour qu’elle comprenne le sens des valeurs d’engagement, de loyauté et de fidélité.
Aujourd’hui, le président Julien Guims est honoré par la commune de Saint-Claude, où il a pris naissance mais aussi par sa commune d’adoption où il trouvé sa femme et où se trouve son club de cœur. Il a désormais son nom sur l’une des salles de ce club et la Mairie de Gourbeyre a donné son nom à un espace voué à la modernité et au développement durable.
Nous vous invitons à suivre son parcours qui rappellera des souvenirs aux anciens et apportera des connaissances aux plus jeunes, en tout cas qui ne laissera indifférents, ni les uns ni les autres.
Bonne lecture
Avant la tombée du rideau
Jeanne Catayée nous conte, dans une version romancée, l’histoire de sa famille.
Dans ce premier volume, elle nous parle de sa tendre enfance guyanaise puis du retour en Martinique, dans le berceau originel. Elle nous raconte ensuite son enfance et son adolescence dans la commune du Morne-Rouge, proche de la montagne Pelée.
Plusieurs événements ont jalonné sa vie qu’elle nous livre d’une façon poignante, parfois amusante.
Elle nous narre aussi le parcours de ses frères et sœurs aînés.
À la fin de ses études, la France est entrée en guerre contre l’Allemagne. Devant l’envahisseur et contre le régime institué par l’amiral Robert en Martinique, elle n’hésite pas à s’engager pour défendre la Patrie.
Dans un second volume, elle poursuivra l’odyssée de cette vie hors du commun d’une Résistante à l’ennemi, qui lui valut plusieurs décorations, et d’une Femme combative qui ne se laisse jamais abattre.
Mon aventure avec le BUMIDOM
Nous avons tous un parent, un ami, une connaissance, parti travailler en France par le biais du BUMIDOM, organisme d’État, mis en place en 1963, pour « faciliter » la migration des orinaires d’Outre-mer vers la France.
Nous disions fièrement : « an ka pati pa bibidom », et chacun a vécu son histoire. Charlise CURIER est partie par bateau en 1971.
De retour chez elle, en Guadeloupe où elle vit une retraite paisible, elle a décidé de raconter simplement ce qu’elle a vécu, comme une aventure,
parsemée de joies, de réussites et de désillusions, au gré des rencontres.
[…J’avais un bon niveau scolaire, donc je serais « OS », Ouvrière Spécialisée, j’étais très fière…..]
[..Dès le début de la formation, j’avais compris que le BUMIDOM nous destinait à être des futures femmes de ménage…. ]
Trésors d’une enfance
Nous avons tous en mémoire, la période qu’est notre enfance ainsi que les lieux qui l’accueillirent. Chaque événement laisse gravé en nous, ces bruits, ces odeurs, ces décors, ces visuels, que notre esprit compile. Les souvenirs qu’ils déclenchent un peu plus tard dans notre vie, nous permettent de les relater à nos enfants, à nos petits enfants. Les générations d’aujourd’hui n’auront aucune chance de vivre de telles expériences.
Au temps de l’enfance, les têtes encore neuves sont de véritables éponges, qui retiennent tout ce qui se passe autour, bien ou mal, il s’agit de vivre intensément chaque jour de sa campagne profonde, mais saine et solidaire. Des petits larcins, à l’univers des soukougnan, des journées d’école, aux jeux dangereux, du cochon de noël, aux masques du carnaval, des jaden kréyòl pillés au grand désarroi des propriétaires, à la fête du village, de la vie avant et après un ouragan, aux réceptions de mariage, toute une vie que je porte à votre sagacité.
Professeur des écoles à la retraite, je vous invite à ce voyage à la découverte de ces trésors de l’enfance, des instants que beaucoup d’entre nous ont vécus. Les faits malgré leurs étrangetés et leurs caractères insolites, vous feront sourire certains et même rire aux éclats par moments.
Flic, un métier qui tue
Témoignage du parcours tumultueux d’un flic qui a gravi tous les échelons jusqu’au grade de commandant, souvent confronté à des affaires sensibles, qui souhaite faire-savoir son métier et ses coulisses.
Il a surmonté tous les obstacles souvent au péril de sa vie, risquant même la prison à la suite de montages d’affaires à Nice. Il a été confronté à la mort d’un collègue tué par balle et sauvé des vies en abattant l’ex-ennemi public numéro 1 de l’arc antillais, Patrick THIMALON dans le ghetto guadeloupéen de Boissard le 22 janvier 2001 à 01h.
Ce 24 novembre 2018, il découvre que les éditions Nestor ont publié un livre en 2015 rédigé par Maître Félix RODES et Hugues PAGESY « Patrick THIMALON, bandit guadeloupéen ? ». Cité à 15 reprises, il juge de son devoir en fin d’épilogue d’adresser une lettre ouverte à la mère du défunt pour rétablir la vérité et apaiser sa peine.
Il livre son dernier combat dans une affaire pour laquelle lui et sa compagne, aussi fonctionnaire de police, se sont constitués partie civile auprès du TGI de Pointe-à-Pitre. Il veut tout de même communiquer un message d’espoir.
Monseigneur Ernest Cabo, histoire d’un appel
De Sainte-Rose à l’évêché de Basse-Terre, la vie de Monseigneur Cabo nous invite à comprendre que notre vie est un itinéraire de la fragilité humaine vers la puissance de Dieu, et que c’est dans notre faiblesse que Dieu nous rejoint et nous apporte Sa force et Sa lumière. Dans un monde en manque de confiance, qui prône la perfection et exclut les plus fragiles, le long parcours de Mgr Cabo nous dit combien nous avons besoin d’éprouver nos pauvretés pour mieux rencontrer l’amour, la miséricorde et la sainteté de Dieu.
Ernest Cabo était un adolescent fragile et sans importance aux yeux de ceux qui veulent paraître. Mais Jésus transforme sa vie en lui faisant comprendre que ses fragilités sont les fissures par lesquelles veulent passer la lumière et la tendresse du Père. Le jeune Ernest connaît ses limites et ses pauvretés et s’appuie avec confiance sur les soutiens qui lui sont donnés : une famille, un curé de paroisse, un père spirituel. Jour après jour, avec le soutien d’aînés dans la foi, il emprunte le chemin du disciple qui persévère dans l’amour, la confiance et la fidélité. Il découvre la présence fidèle de Dieu à ses côtés, rassurante mais exigeante. Il comprend que la vérité d’un regard humble sur soi-même rend nos relations avec Dieu et nos frères plus pures, profondes et fécondes.
La biographie de Mgr Cabo nous aide à découvrir la force de la prière, cette puissance mystérieuse qui impose le règne de Dieu et amène sur la terre ce que le Ciel nous a déjà réservé.